Suite à l’atelier de pratique artistique d’Anissa Allam Vaquez au mois de novembre ainsi que du travail mené pendant les cours d’arts plastiques, les élèves de première et de terminale de l’enseignement de spécialité d’arts plastiques présentent leurs productions dans la galerie pédagogique.

Cet atelier s’est déroulé pendant la présentation de l’exposition de Anissa Allam Vaquez intitulée « Après le paysage ». Il en reprend le titre puisque la proposition faite par l’artiste aux élèves afin d’expérimenter sa démarche artistique était :

Que gardons-nous de l’expérience d’un paysage ? De ses formes, ses couleurs, ses lumières, ses sons, … ? Et comment s’inscrit-il dans notre mémoire individuelle ou collective ? Vous allez choisir un paysage qui vous est familier, avec lequel vous entretenez une relation particulière. Soit parce qu’il est quotidien, par exemple, vous le traversez tous les jours ; ou chargé de souvenirs, ou au contraire tout à fait quelconque. Vous ferez d’abord l’expérience de ce paysage : en le regardant, en l’observant attentivement. Puis de manière régulière, pendant plusieurs semaines, à des heures différentes, vous réaliserez une sorte de grande collecte qui témoignera de votre relation à ce paysage et ce que vous souhaitez en retenir selon votre sensibilité (ce qui vous touche, retient votre attention, vous repousse, etc…).

Lors leur expérience avec l’artiste, les élèves ont traversé divers ateliers les invitant à prélever des formes ou contre formes ainsi que des couleurs dans leurs collectes réalisées, à porter un regard différent sur leur paysage en isolant les éléments afin de pouvoir envisager une nouvelle composition, non figurative, ne cherchant donc plus à représenter ce paysage mais plutôt à rendre compte de son expérience dans celui-ci.

Sur les tables de la galerie, les élèves présentent des carnets, recueils de certaines expériences de collecte ou d’atelier. Ces carnets permettent de comprendre par quelles étapes ils sont passés pour arriver aux productions présentées sur les murs.
La scénographie a été décidée en classe entière, réflexion sur l’accrochage et les possibles dialogues entre certaines productions.

Le titre de l’exposition est en rapport avec une œuvre sonore d’Elsa Werth, Anywayland, présentée lors de l’exposition des œuvres du Frac des Pays de la Loire en septembre/octobre. Elle met l’accent sur le processus de création qu’Anissa Allam Vaquez a partagé avec les élèves le temps d’un atelier.

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La galerie pédagogique présente, jusqu’au 20 décembre, les œuvres d’Anissa ALLAM VAQUEZ, artiste plasticienne basée à Ingrandes.

L’exposition s’intitule « Après le paysage », elle rassemble différentes productions de trois projets : “Post-coralia” (2022), “Post-embruns, variations bleues” (2021) et “Nostalgie d’un paysage” (2014).
Chacun de ces projets prend naissance face à un paysage, nait de son expérience ; il s’agit d’une sorte de conversation avec la nature. Ces séries d’images célèbrent le vivant.
En y prélevant ça et là ses formes et en jouant de leur représentations et de leur combinaisons, je recompose de nouveaux environnements.
Ces projets rassemblent des dessins, des dessins-peintures, des photographies peintes.

Trois élèves de terminale spécialité d’arts plastiques, Mélissa, Nayah et Rose ont assisté Anissa Allam Vaquez pour le montage de l’exposition. La réflexion sur la conception d’une exposition fait partie des compétences travaillées dans les cours d’arts plastiques dans le cadre du baccalauréat.

Anissa Allam Vaquez animera des ateliers de pratique artistique auprès de tous les élèves de Première et de Terminale de l’enseignement de spécialité et optionnel à la mi-novembre. Une exposition des productions d’élèves fera l’objet d’une prochaine exposition.

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Exposition du jumelage avec le Frac des Pays de la Loire (Fonds Régional d’Art Contemporain).
L’exposition aborde des questions de territoires, de paysages, avec l’installation sonore de Elsa Werth Anywayland, la peinture de paysage urbain de l’artiste sénégalais Cheikh N’Daye, l’aquarelle d’échangeur autoroutier se transformant en paysage de l’artiste ukrainienne Kristina Solomoukha, les images imprimées de Pierre-Lin Renié représentant des nuages, photographie d’un rouleau de papier toilette gaufré de petits nuages bleus, la photographie noir et blanc d’Aurélien Froment du site américain « Arcosanti », prototype de ville utopique, la petite sculpture de cailloux de Jean-Michel Sanejouand, les images photographiques, portrait de l’Algérie, de Carole Douillard.

Cette exposition fait partie du dispositif l’Art en valise proposés aux lycées de la région par le Frac des Pays de la Loire.

Accueillir une exposition ou un artiste dans son établissement est idéal pour aborder l’art et confronter l’élève à des démarches qui interrogent son environnement et invitent à développer sa réflexion, son esprit critique et sa pratique. C’est une démarche complémentaire au fait de visiter des lieux spécialisés et des expositions. Quelques élèves de seconde de l’enseignement optionnel d’arts plastiques ont pu participer au montage de l’exposition avec l’équipe du Frac.

C’est le quatrième partenariat avec le Fonds régional d’Art Contemporain (Frac) des Pays de la Loire depuis la création de la galerie en janvier 2019.

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Ouest-France du 10/10/23

Les œuvres d’art débordent de la galerie cet automne et investissent l’atrium du lycée où sont exposées de grands tirages photographiques. Voyage en alopécie est un projet artistique collaboratif initié par Valérie Wroblewski-Moulin qui associe les photographies de Christophe Martin et le graphisme de Séverine Coquelin.

Ce projet a pour intention de « changer les regards sur le cancer, faciliter le dialogue et les échanges entre les patients et leur entourage, aider des personnes à se réapproprier leur identité et reprendre confiance en elles, montrer que le beau est possible malgré la maladie… ».

Ce projet est en lien avec la réalisation d’un court-métrage par V. Wroblewski-Moulin  (cliquer pour voir le film).
Une rencontre avec la réalisatrice est organisée le 16/11 avec les élèves et leurs enseignantes de terminale des filières ASSP et ST2S.

Parallèlement, la galerie d’exposition accueille les œuvres de Séverine Coquelin constituant une série intitulée Naturalis, hybridations entre le corps humain et éléments de la nature (merci aux élèves de terminale qui ont participé à l’accrochage). Cette exposition donnera l’occasion aux élèves des enseignements artistiques de travailler en lien avec la démarche artistique de la plasticienne. Les élèves de Première de l’enseignement de spécialité d’arts plastiques ont pu rencontrer l’artiste.

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Pour inaugurer les expositions de cette année scolaire, les élèves de Première de l’enseignement de spécialité ont imaginé et réalisé la scénographie de l’exposition de l’œuvre de Dominique BLAIS ainsi que de celles empruntées à l’artothèque d’Angers en lien avec la NOTION DE TEMPS.

Durant l’année scolaire 2020/2021 Dominique BLAIS était l’artiste invité à exposer dans la galerie du collège La Ville aux Roses de CHÂTEAUBRIANT. Le protocole sanitaire a bouleversé le calendrier et l’organisation de nombreux projets…
L’artiste a proposé de réaliser une œuvre protocolaire qui consistait à envoyer à la galerie de l’établissement un courrier par jour dans l’esprit de sa série Phases of The Moon.

La présentation des envois a alors fait l’objet d’une réflexion que les élèves ont proposée à l’artiste. La professeure d’arts plastiques de cet établissement propose depuis, à d’autres établissements, de réfléchir à la présentation de cette œuvre dont la particularité est d’être recto-verso. Le lycée Julien Gracq est le 5e établissement à accueillir ce projet.

Voir les autres propositions de présentation déjà réalisées.
Découvrir le projet sur le site du collège La Ville aux Roses

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Les élèves de Première de l’enseignement de spécialité d’arts plastiques ont pu vivre deux journées d’atelier avec l’artiste Arthur Chiron dont les œuvres sont exposées dans la galerie.

Sur une proposition visant à partager la démarche conceptuelle du plasticien, les élèves ont travaillé sur l’appropriation artistique de références littéraires ou cinématographiques qu’ils avaient sélectionnées auparavant. Cette réflexion, entamée le 06 janvier, s’est poursuivie et concrétisée pendant les cours d’arts plastiques pour aboutir, le 21 janvier à une présentation des productions dans la deuxième pièce de la galerie du lycée, en regard avec œuvres de l’artiste.

Installations, sculptures, peintures, collages, jeux de société, films d’animation… les élèves ont eu des approches très variées dans leur manière de s’approprier des œuvres.

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BILAN du projet avec Arthur Chiron

Dans le cadre d’un financement par le dispositif régional « Exposer InSitu », la galerie du lycée accueille les œuvres de l’artiste plasticien Arthur Chiron. Ce dernier encadre, en parallèle, un atelier de deux journées avec les élèves de première de l’enseignement de spécialité d’arts plastiques dont les productions seront exposées dans la deuxième galerie à partir du vendredi 21 janvier.
La pratique d’Arthur Chiron emprunte des références à la fois au champ des arts visuels ainsi qu’à ceux de la littérature ou du cinéma. Ces œuvres préexistantes sont manipulées pour ce qu’elles lui offrent d’interstices, à partir desquels il s’attache à opérer différents gestes : juxtapositions, détournements, hommages, parodies.

Les œuvres présentées dans cette exposition font référence à des œuvres littéraires comme 1984 de Georges Orwell, paru en 1949, à 2001 Odyssée de l’espace de Arthur C. Clarke, paru en 1968, à Le scarabée d’or d’Edgar Allan Poe, paru en 1843 mais aussi à des œuvres du domaine des arts plastiques comme celle de Raphaël Zarca, Philippe Ramette, Roman Opalka.

L’atelier avec l’artiste invite les élèves à vivre sa démarche artistique d’appropriation de références venant nourrir la pratique plastique.

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L’exposition présente des œuvres de nature très variée : vidéo, sculpture, peinture, dessin, réalisées par des artistes comme Adel Abdessemed, Neal Beggs, François Curlet, Jean-Baptiste Ganne, Ad Minoliti et Krzysztof Wodiczko.

Cette exposition itinérante fait partie du dispositif l’Art en valise proposés aux lycées et CFA de la région par le Frac des Pays de la Loire. Elle aborde cette année la notion d’Hybridations (mélanges de matériaux, métissages culturels, rencontres hybrides…) qui trouve des échos intéressants dans les programmes d’arts plastiques des enseignements optionnel et de spécialité. Les élèves, pendant les cours d’arts plastiques, abordent les questionnements soulevés par les démarches artistiques de l’exposition.

Accueillir une exposition ou un artiste dans son établissement est idéal pour aborder l’art et confronter l’élève à des démarches qui interrogent son environnement et invitent à développer sa réflexion, son esprit critique et sa pratique. C’est une démarche complémentaire au fait de visiter des lieux spécialisés et des expositions. Les élèves ont d’ailleurs pu, en début d’année, visiter les expositions temporaires et musées sur Angers ou Nantes (Julien Parsy au Repaire Urbain d’Angers, Rinus van de Velde et Claude Closky aux galeries du Frac, Gilles Barbier à la HAB galerie de Nantes).

C’est le troisième partenariat avec le Fonds régional d’Art Contemporain (Frac) des Pays de la Loire depuis la création de la galerie en janvier 2019.

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Les élèves de seconde de l’enseignement optionnel d’arts plastiques se sont rendus en septembre à l’artothèque d’Angers. Ils ont pu y découvrir l’exposition des œuvres de Julien Parsy et emprunter une sélections d’œuvres autour du thème du paysage. La proposition leur était faite ensuite d’imaginer l’accrochage de ces six œuvres empruntées, dans la galerie d’exposition du lycée. En parallèle, ils travaillaient un projet de pratique plastique en revisitant la notion de paysage.
Pour les élèves c’était l’occasion de travailler une compétence importante dans le domaine des arts plastiques, celle d’EXPOSER la pratique artistique, de réfléchir à sa présentation, au dialogue entre les œuvres…
Les différentes propositions des équipes de travail ont été testées.

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Avec l’annulation des épreuves orales du baccalauréat, les élèves de terminale de l’enseignement de spécialité se sont vu privés de la possibilité de présenter leurs projets plastiques réalisés au cours de l’année.La galerie leur est donc confiée par quinzaines, afin de pouvoir présenter, autour de thématiques communes, certaines de leurs productions.

Cinq élèves ont pu inaugurer ce cycle d’expositions avec des propositions autour de la lumière. Ils sont en charge de l’ensemble de l’exposition, de sa conception et son accrochage à sa communication.Les autres expositions ont dû être annulées en raison de la situation sanitaire et de l’alternance de la présence des élèves.

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Dans le cadre de l’accueil des œuvres de Michel BIDET dans la galerie d’exposition (voir article suivant), les élèves de première de l’enseignement de spécialité arts plastiques ont vécu un atelier de pratique artistique avec l’artiste. L’objectif était de vivre le même processus de travail que celui qu’il affectionne : observation du réel pour repérage d’espaces (espaces entre les choses), prélèvement de formes dans ces espaces dessinés, jeu de composition à partir de ces formes. La proposition était intitulée « regarder dans les écarts ».
Les élèves ont, au début, réalisé des dessins d’observation d’une chaise avec différentes approches dans les consignes d’observation. Après avoir extrait de ces dessins des formes variées, ils les ont combinées pour faire apparaître de nouvelles formes, plus abstraites. Par la suite, en équipes, ils ont composé des « lignes » de formes qui ont donné naissance aux projets réalisés au blanc de Meudon sur les vitres de l’atrium environnant la galerie.
Ce projet établit un lien entre l’espace d’accueil du lycée et la galerie où sont exposées les œuvres de l’artiste.

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La galerie accueille les œuvres de Michel BIDET, artiste angevin, notamment sa dernière création réalisée en décembre 2020 lors de sa résidence au collectif BLAST à Angers : une très grande peinture présentée sous la forme d’une tapisserie qui immerge le spectateur dans la peinture. Elle est accompagnée de peintures à l’huile et de gravures à l’eau forte qui explorent des motifs que Michel Bidet tire de son observation du réel et qu’il décline ensuite à travers différents médiums comme le dessin, la gravure, la peinture ou la vidéo. Ces motifs, issus de l’observation des espaces vides entre les objets, deviennent une sorte de vocabulaire de formes récurrentes dans les compositions de l’artiste. Des élèves volontaires de seconde et de première des enseignements artistiques ont participé à l’accrochage avec l’artiste.
Michel Bidet animera des ateliers de pratique plastique avec les élèves de première de l’enseignement de spécialité au mois de février.

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Malgré le contexte sanitaire particulier, l’exposition des œuvres du Frac des Pays de la Loire dans la galerie de l’établissement a pu être maintenue. Les élèves du lycée vont donc pouvoir profiter de cette exposition et vivre des rencontres sensibles avec les œuvres d’art. Jean-François Priou, régisseur de la collection, Lucie Charrier, chargée des publics et Julien Quentel, assistant, sont venus jeudi 5 novembre installer l’exposition avec l’aide de Maël Terrien, élève de terminale de l’enseignement de spécialité d’arts plastiques qui s’était porté volontaire.

Cette exposition reprend le titre d’une des œuvres présentée, celle de Gérard COLLIN-THIÉBAUT, œuvre sonore constituée d’une voix féminine énonçant des titres d’œuvres que l’histoire de l’art nous a léguées. Cette exposition est en lien avec le fait d’EXPOSER. Toutes les œuvres remettent en question, à leur manière, la tradition : la peinture se fait sculpture, la sculpture est lumière immatérielle ou mots, le langage textuel devient illisible, le dessin est réalisé par des outils peu conventionnels, le musée personnel d’un artiste se miniaturise pour entrer dans une boîte…
Cette exposition donner l’occasion aux élèves des enseignements optionnel et de spécialité de travailler en lien avec les œuvres présentées, notamment celles en rapport avec le langage.

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La galerie d’exposition présente les productions des ateliers menés par l’artiste Seulgi Lee lors de sa présence au lycée (voir plus bas l’article « Projet avec Seulgi Lee »).

Les élèves de première de l’enseignement de spécialité d’arts plastiques ont développé des projets autour du « Monstre », en lien avec la sculpture réalisée par Seulgi Lee dans le cadre du 1% artistique et à partir de la lecture de légendes locales. Ils ont aussi été les organisateurs de cette exposition, de la conception de l’accrochage à la communication (textes de médiation, affiches).
Les élèves de seconde de l’enseignement optionnel d’arts plastiques ont travaillé en rapport avec des proverbes de la région des Mauges et plus généralement de l’Anjou pour en proposer une version plastique dans l’esprit de la démarche de Seulgi Lee pour la création de ses couvertures.

L’exposition n’a pu être vue par le public en raison de l’annulation des portes ouvertes suite à l’épidémie de coronavirus. Pour les mêmes raisons, elle restera visible jusqu’à fin mai en raison de la fermeture des établissements scolaires.

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L’artiste nantaise Sylvie Coulon expose ses œuvres dans la galerie pédagogique du lycée jusqu’au 14 février 2020.
Elle développe une réflexion sur l’image à travers un travail de peinture et de dessin. Son travail est souvent constitué de de séries qui jouent sur les différents formats et invitent le spectateur à se poser des questions sur son rapports aux images ancrées dans sa mémoire.

L’exposition présentée au lycée concerne la relation peinture/cinéma, et plus précisément le western. Les œuvres sont aussi influencées par la littérature, voire même par l’image que la publicité a longtemps véhiculé des cowboys.
Elles forment un ensemble, sous forme d’installation. Sylvie Coulon reprend des images de films sur écran de télévision évoquant l’Ouest américain (chevauchées d’indiens, cowboys, en exploitant les cadrages qui mettent principalement en valeur les chevaux).

Accompagnée par Garance, étudiante de troisième année de l’école des Beaux-arts de Nantes en stage chez elle, l’artiste est venue rencontrer les élèves des enseignements artistiques au lycée le vendredi 17/01. En collaboration avec l’enseignant d’arts plastiques, elle leur a proposé des ateliers de réflexion autour de l’image et ses manipulations.

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Seulgi LEE a accepté l’invitation de venir au lycée présenter sa sculpture lors de rencontres/conférences avec tous les élèves de seconde et de première.
Elle aussi animé des ateliers de création avec les élèves des enseignements optionnels et de spécialité d’arts plastiques.

Sa première période d’intervention s’est déroulée du 13 au 15 novembre 2019. Une deuxième période, prévue les 09 et 10 décembre 2019, n’a malheureusement pas pu avoir lieu en raison des grèves dans les transports. Aucune date de remplacement n’a pu être trouvée par l’artiste.

Un exposition de ses dessins ainsi que d’une vidéo est présentée dans la galerie pédagogique entre ces dates.

Quelques photos des rencontres et des ateliers de création

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Quelques photos de l’exposition des dessins des projets de Seulgi Lee

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Du côté de la presse : article de Ouest France du 21/11/2019

Exposition des productions réalisées par les élèves de première, option facultative arts plastiques, lors de l’atelier avec les artistes Laura Bottereau et Marine Fiquet (voir article plus bas sur la page).

 

Voir l’ensemble des productions dessinées et les protocoles

 

 

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Dans le cadre de l’opération « Prenez l’art ! », saison d’art contemporain en Anjou du Conseil Départemental, quelques œuvres de l’artiste plasticienne Aurore Pallet, à l’occasion de sa résidence à l’École d’Art du choletais, sont présentées dans divers établissement scolaires de Cholet et de ses environs. Cette exposition itinérante démarre son aventure dans la galerie d’expositions du lycée.

« Mon travail s’articule pour l’essentiel autour de la peinture (même si en fonction des projets je fais parfois appel à d’autres formes : installation sonore, objets, vidéo..) et progresse par séries ou ensembles de pièces qui approchent à chaque fois la question de l’image sous un angle différent.
J’aborde donc la peinture plutôt à la manière d’une plasticienne : les formes et les outils changent en fonction de ce que je souhaite évoquer, mais la question centrale autour de laquelle j’évolue demeure toujours la même : c’est celle de la nature indéterminée des images mentales.

De quoi sont constitués ces types d’images que l’on nomme ainsi mais qui font autant appel au visuel qu’au langage, à la mémoire ou aux sensations et se conjuguent pour donner forme à quelque chose d’insaisissable ? Il s’agit donc principalement dans mon travail de transformations : apparitions, disparitions, glissements, échos, strates, pressentiments ou souvenirs de ces états. Les images contenues dans mes peintures échappent elles aussi, les teintes sombres, la brillance de la matière créant des jeux de lumière qu’il est difficile de rendre en photos. » Aurore PALLET

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Voir deux élèves de terminale au journal de la TLC (télévision locale du choletais) du mercredi 20/03 à propos du lancement de l’opération « Prenez l’art »

Atelier financé par la commune nouvelle de Beaupréau-en-Mauges dans le cadre de la
carte blanche de l’artiste au Centre culturel de la Loge.

Les élèves ont découvert l’univers poétique de Manon Tricoire qui leur a proposé un atelier autour du matériau encre de chine et de l’évocation d’un monde aquatique.

Depuis une dizaine d’années, j’ai amorcé des recherches autour du dessin. Geste et espace y tiennent les premiers rôles, mais la durée et la matière sont aussi des éléments liminaires de cette pratique. La contemplation et la méditation composent la dynamique complémentaire de ce travail.
L’observation des végétaux, des matières naturelles, mais aussi des dessins tantriques, des peintures aborigènes et bien d’autres pratiques alliant graphisme et démarche spirituelle participent à ma réflexion sur ce médium. Il s’agit de mettre en oeuvre la durée, les éléments minéraux, le graphite, la suie, le carbone, l’eau, d’exploiter les phénomènes de concrétion, de précipitation et de sédimentation pour faire apparaître des images tactiles. Antérieurement à ma pratique du dessin, préexiste ma pratique de la sculpture et de l’installation, de la photographie et de la vidéo. Manon Tricoire

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Productions d’atelier sur des feuilles 50×65 cm

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En lien avec l’exposition Les deux font la paire, œuvres du Frac des Pays de la Loire, les élèves de première de l’enseignement optionnel ont participé à un atelier avec les deux artistes plasticiennes Laura Bottereau & Marine Fiquet dont la particularité est de travailler à quatre mains.
Cet atelier, financé par la Région était mené en partenariat avec le Frac.

Les élèves ont imaginé des protocoles d’exécution d’un dessin à partir de documents tels que des articles de journaux, des poèmes, des recettes de cuisine, des pages de romans… Après avoir activé leur propre protocole en réalisant un dessin par équipe, ces derniers ont été échangés pour qu’une autre équipe l’expérimente à son tour.

Les outils employés par les deux plasticiennes pour leurs dessins sont les feutres à alcool. C’était l’occasion pour les élèves de découvrir les subtilités de cette technique sur un papier spécial appelé papier pierre..

Les dessins seront exposés dans la galerie de l’établissement à partir du 03 avril 2019. Une vidéo de ce projet, produite par le Frac, sera bientôt disponible sur la chaîne Youtube « L’art en valise » du Frac.

Photos du premier jour d’atelier :

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Photos du deuxième jour d’atelier :

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Voir les productions des élèves

Du côté de la presse : article de Ouest France du 06/03/2019

Retour des élèves

La rencontre avec les artistes

• Les deux artistes étaient très gentilles et très intéressées par ce que nous proposions. C’était très agréable de parler avec elles. Elyssa G.
• C’était la première fois que nous travaillons avec des artistes directement en pouvant communiquer, ça été intéressant car elles ont pu nous donner des conseils et nous avons en même temps pu découvrir le travail qu’elles faisaient et ça m’a vraiment plu, j’ai trouvé leur diaporama intéressant. Eléa O.
• La rencontre avec les deux artistes m’a permis de découvrir leur univers et leur façon de créer. Elles nous ont apporté leurs conseils et c’était très bénéfique. Elise C.
• La rencontre avec les artistes a été géniale, j’ai vraiment adoré les rencontrer. Je trouve que leur travail est intéressant et inspirant. Elles ont été très gentilles et très à l’écoute. Je pense que de les avoir rencontrées a été bénéfique pour chacun de nous, en ce qui concerne notre manière de travailler, nos projets… Loélia C.
• Les artistes étaient sympas et s’intéressaient à ce qu’on faisait. Angèle F.

L’atelier / les protocoles / la technique

• J’ai adoré travailler sur un protocole à deux, ce qui permet de se poser des questions que l’on ne se serait pas posées si on avait été seul. Il faut prendre des décisions à deux. J’ai découvert une manière de travailler en duo, mais j’ai aussi pu découvrir les contraintes et les avantages des outils imposés. Jamais je ne serais allée jusqu’au bout avec les feutres à alcool, je ne me serais pas fait confiance mais là, le fait que ce soit imposé et que l’on soit à deux, je n’avais pas le choix, il a fallu que je me fasse confiance et je suis vraiment contente du résultat. Lélia T.
• Cela m’a beaucoup plu de pouvoir utiliser un nouveau type de méthode tel que le papier pierre et les feutres à alcool que je n’avais jamais utilisés. Je trouve que le papier pierre est intéressant à utiliser te donne un joli rendu. Les feutres à alcool peuvent être assez compliqués à utiliser au début mais ça nous permet d’essayer de nouvelles choses et je trouve que le rendu était meilleur qu’avec de la peinture ou des crayons de couleur… Eléa. O
• Devoir se donner un protocole à soi-même en ajoutant des contraintes était enrichissant. J’ai pu découvrir ainsi le travail à quatre mains sur la même feuille (chose que je n’avais jamais faite auparavant). J’ai trouvé le besoin de communication de son protocole également intéressant. Tom B.
• Le travail aux feutres à alcool était pour certains une découverte. Avant ce travail, je n’osais pas utiliser cette technique car je ne savais pas comment l’utiliser. Le travail en duo était très intéressant, nous nous aidions dans le travail, chacune apportait ses idées et faisait avancer les choses. Dans l’élaboration du dessin on se complétait. Mélanie J.

Les deux font la paire, première exposition de partenariat du lycée Julien Gracq avec le Frac des Pays de la Loire autour d’un fil rouge, le travail d’équipe. La sélection s’est arrêtée sur des œuvres issues d’un travail collectif, collaborations ponctuelles ou duos d’artistes institués. Cette exposition inaugure la création de la galerie d’exposition du lycée. De nombreux projets suivront, d’autant que les nouveaux programmes de la réforme du lycée mettent en avant la compétence EXPOSER. Les élèves de première de l’enseignement optionnel arts plastiques ont participé à la réflexion sur la présentation des œuvres (dans un premier temps sur maquettes, avec des reproductions d’œuvres à l’échelle), au montage de l’exposition avec l’équipe du Frac (Lucie, chargée des publics et Antoine, régisseur). Ils assurent aussi la médiation lors des visites. Ces élèves participeront à un atelier avec les deux artistes plasticiennes, Laura Bottereau et Marine Fiquet, autour de cette notion de collaboration artistique. Ce projet est conjointement financé par la Drac (Direction Régionale des Affaires Culturelles) et la Daac (Délégation Académique à l’Éducation Artistique et à l’Action Culturelle).

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Un grand merci à toutes les personnes qui ont, de près ou de loin, contribué à cette ouverture de galerie et cette première exposition !

Quelques images d’interventions plastiques, sur place, en lien avec les œuvres de l’exposition, par les élèves de première :

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Du côté de la presse : article de Ouest France du 27/01/2019