Lycée Julien Gracq

Lycée Polyvalent – Beaupreau

Pays de la Loire
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Réunir - seconde enseignement optionnel

Afin d’aborder des question liées à la technique de peinture, les élèves se sont vus proposer de choisir trois Reproductions des détails de peintures réalisées par des différents artistes. Ils devaient ensuite, sur un format raisin (50 x 60 cm), essayer de « réunir » ces reproductions par un travail pictural en essayant de trouver à la fois une cohérence figurative ainsi qu’une homogénéité plastique. Les élèves ont pu découvrir, après le travail, les Présentation des œuvres situées dans leur époque

Rêves de corps - seconde enseignement optionnel

En lien avec la présentation de l’exposition des œuvres de Séverine COQUELIN dans la galerie d’exposition du lycée, les élèves de seconde ont travaillé en photographie la mise en scène du corps dans l’espace.
Ils ont ensuite, à partir de la proposition RÊVES DE CORPS, réfléchi à la manière dont un travail graphique peut se glisser dans l’image photographique afin d’en métamorphoser la perception.

Faire paysage - seconde enseignement optionnel

Pour faire écho à la visite de l’exposition Les Fondeurs de Roue, présentée au Repaire Urbain à Angers, une proposition de travail en lien avec la sculpture a été faite aux élèves de seconde. Celle-ci les amenait à réfléchir caractéristiques de certaines sculptures observées, basée essentiellement sur le geste de l’artiste et le module se répétant.

FAIRE PAYSAGE, PLUTÔT QUE FAIRE UN PAYSAGE. À travers cette proposition, les élèves ont dû penser à évoquer les caractéristiques du paysage sans forcément en représenter un, ce à travers la manipulation d’un seul matériau, le papier.

Projets personnels - terminale enseignement de spécialité

Quelques projets personnels d’élèves présentées au bac lors de la session 2022.

Fragments du réel - première enseignement de spécialité

Après des projets particulièrement conceptuels pour les élèves, petit travail d’observation de la couleur et sa restitution à la peinture en choisissant une petite portion de réel à observer.

La référence en question / atelier avec Arthur Chiron - première enseignement de spécialité

Parallèlement à la présentation des œuvres d’Arthur Chiron dans la galerie du lycée, les élèves de première de l’enseignement de spécialité d’arts plastiques ont pu vivre deux journées d’atelier avec l’artiste. Ils ont pu approcher sa démarche sur l’appropriation de références littéraires, cinématographiques ou plastiques en réfléchissant à des projets à partir de leurs propres références sélectionnées en amont. Le travail s’est poursuivi pendant les cours d’arts plastiques entre les deux journées d’atelier.

D'une image à l'autre, en passant par le texte - première enseignement de spécialité

Travailler la précision de la description écrite d’une œuvre afin de permettre sa réalisation au plus proche de l’œuvre d’origine, sans jamais la voir pour celui qui réalise la production, tel était l’enjeu de ce travail.
Les élèves étaient invités à tirer au sort une reproduction d’œuvre ne comportant que son visuel, la technique et les dimensions. Après l’avoir décrite, les textes étaient tirés au sort par d’autres élèves qui devaient réaliser la production dans un format et une technique identiques en ne se basant que sur le texte. Travail long et laborieux que les élèves ont investi avec enthousiasme et persévérance.

Repenser la représentation de paysage - seconde enseignement optionnel

Les élèves de seconde de l’enseignement optionnel, pour débuter l’année scolaire, ont pris en charge une réflexion sur la représentation de paysage.
Après avoir travaillé plastiquement sur la notion de « cliché de paysage », ils se sont rendus à l’artothèque d’Angers découvrir l’exposition des peintures de paysages de Julien Parsy. Ils ont aussi travaillé dans les collections du musée des beaux-arts sur l’évolution de ce sujet au fil des époques.
Parallèlement à une réflexion sur l’accrochage des œuvres empruntées à l’artothèque (avec comme consigne de regard « un paysage qui ne fait pas image »), ils ont travaillé à partir de différentes propositions visant à les amener à repenser le paysage et sa représentation.

Projets personnels - terminale enseignement de spécialité

Avec la situation sanitaire, les élèves de terminale n’ont pas pu présenter leurs projets du fait de l’annulation des épreuves. Plusieurs expositions prévues dans la galerie afin de présenter les productions ont aussi été annulées… Voici un petit aperçu de quelques projets.

Double JE, autoportraits à l'échelle 1 - seconde enseignement optionnel

Recherche de réalisme dans les productions des élèves de seconde de la fin d’année, avec l’enjeu de travailler à l’échelle réelle du corps. Ils se sont mis en scène par deux. Malheureusement, la situation sanitaire et l’alternance des cours en présentiel et à distance n’a pas permis le complet achèvement de certains travaux.

Du lieu naît l'oeuvre - première enseignement de spécialité

Comment imaginer une production plastique en lien avec son lieu de création et d’exposition ? Quelques projets in situ d’élèves de première de l’enseignement de spécialité en lien avec l’étude du Pont Neuf empaqueté de Christo et Jeanne-Claude.

Cyanotypes - terminale enseignement optionnel

Les élèves de terminale réalisent leurs premiers cyanotypes pour montrer « le lycée autrement ».
Le cyanotype est un procédé de développement photographique qui date du milieu du 19e s. et qui donne un tirage bleu de Prusse. Sur un support enduit d’un liquide photosensible, on place le négatif de l’image prise en photo ou bien tout élément qui va bloquer la lumière (objet, dessin…), on expose au soleil puis on plonge la feuille dans de l’eau pour révéler l’image.

Un projet Tom, élève de terminale enseignement de spécialité : panorama de silhouettes défilant devant nos yeux. Référence à la fois William Kentridge (image 1) et Carmontelle (image 2), artistes étudiés pendant l’année ainsi qu’à Kara Walker (image 3). Cliquer sur les images pour en savoir plus et penser à rafraichir la page si la vidéo de s’affiche pas

"Être nature", un chemin vers la non figuration - seconde enseignement optionnel

Un travail de passage progressif de l’observation fidèle de végétaux à une production non figurative. « Être nature » plutôt que représenter la nature, chercher un langage plastique avec des formes organiques.

Une exposition virtuelle de portraits à travers l’histoire de l’art, sous forme de bande annonce. Un projet de Ugo, élève de première enseignement de spécialité, dans le cadre d’une réflexion sur l’exposition d’œuvres étudiées au cours de l’année.

Penser à rafraichir la page si la vidéo ne s’affiche pas

Pendant le confinement, Gabriel, élève de terminale en enseignement optionnel, a réalisé un bel hommage à Bill Viola et sa réflexion sur le temps

Penser à rafraichir la page si la vidéo ne s’affiche pas

Narration et espace, l'architecture du lycée comme une page de BD - seconde enseignement optionnel
Suite à la rencontre et l’atelier avec l’artiste Sylvie COULON, les élèves ont effectué des croquis au fusain dans l’exposition de l’artiste présentée de la galerie. Ils ont ensuite réfléchi à une possible narration dans l’espace du lycée à partir des œuvres exposées.Malheureusement, la fermeture du lycée pour confinement n’a pas permis de tout accrocher dans l’espace.

Dilater l'espace - première enseignement de spécialité
Un travail de réflexion sur l’espace et sa représentation en lien avec l’étude d’une œuvre baroque, mouvement artistique du 17e siècle.

Projets personnels de 2019 et 2020 - terminale enseignement optionnel

En classe de terminale, les élèves développent, tout au long de l’année, des projets personnels de manière autonome.

Protocoles pour dessiner à deux (atelier avec les artistes L. Bottereau et M. Fiquet) - première enseignement optionnel
Protocoles inventés par les élèves pour travailler un dessin en collaboration à deux. Travail réalisé pendant l’atelier avec les artistes Laura Bottereau et Marine Fiquet dans le cadre d’un projet en partenariat avec le Frac des Pays de la Loire.

Vanités contemporaines - première enseignement optionnel
Travail mené en lien avec l’exposition Les deux font la paire, œuvres du Frac des Pays de la Loire, présentée dans la galerie du lycée. Les élèves se sont penchés sur le genre des Vanités, en vogue au 17ème siècle, qui réapparaît aux 20ème et 21ème siècles. Certaines œuvres de l’exposition y font référence.

Tom – Dessin, encre, collage sur papier, 50×65 cm

Ma production évoque une certaine vanité contemporaine à travers le moderne apporté par le style enfantin qui se rapproche du manga ainsi que par les vêtements modernes. Il y est représenté un jeune/adolescent qui marche dans la rue sous son parapluie. Un crâne remplace sa tête et évoque le fait qu’il soit mortel. La corne cassée et le ballon représentent la fragilité du monde et de la vie. Mais la corne brisée peut également se référer au renouveau, en effet une corne repousse. Le téléphone et le casque, qui sont liés souvent, évoquent le loisir et la possession. L’heure du téléphone qui se reflète sur le crâne évoque le temps qui passe. […] La pluie occupe une place importante en terme d’espace sur la feuille. C’est un cycle infini, l’eau passe et repasse à chaque stade à l’infini. Le personnage ne s’en préoccupe pas. Il semble fuir le temps et son environnement mais celui-ci est également statique et paraît perdu, son seul refuge étant son téléphone. Le « $ » inscrit dessus évoque la richesse et le but de la vie. Tom

Élise – Collage sur papier, 50×65 cm

Dans ce travail de vanité contemporaine j’ai décidé de représenter la société de consommation et notre innocence face à celle-ci. Le travail se découpe donc en deux parties complémentaires, la première est constituée d’une feuille recouverte de différents éléments : marques et miroirs renvoyant à l’aspect vain, le besoin de se montrer et de faire attention à l’image que l’on reflète (réseaux sociaux) ; téléphones, ordinateurs… ces gadgets sont devenus notre quotidien et nombreux d’entre nous ne pourraient plus sans passer. Régulièrement remplacés ces objets constituent une grande part de la société de consommation, qui nous pousse à acheter des modèles hors de prix simplement afin de montrer sa “richesse”, ils reflètent parfaitement l’aspect vain de notre société actuel ; enfin horloges symbolisant le temps, cet élément que l’on ne contrôle pas et qui bien souvent nous échappe, il est l’une des rares choses que l’on ne peut acheter, cette ressource n’est infini pour aucun d’entre nous, elle est le fil conducteur de nos vies
La deuxième partie de mon projet est représenté par Alice (aux pays des merveilles), j’ai choisi celle-ci car elle n’est qu’une enfant insouciante courant après un lapin en retard (fuite du temps). Alice est également l’une des figures emblématiques de Disney (temple de la consommation), ce monde à l’aspect idyllique mais qui pourtant est bien loin du compte de fée. Alice marque ici l’innocence dont on fait preuve face à cette société de consommation omniprésente. J’ai choisi de détourner celle-ci dans du papier de soie noir, représentant le voile sombre derrière lequel se cache toute cette consommation et qui nous empêche de voir les choses tel qu’elles le sont réellement. Élise

Léonie – Plâtre, peinture, carton, médicaments

J’ai réalisé une sculpture composée de deux mains ainsi qu’une pancarte sur laquelle est écrit « Servez-vous… » ainsi qu’une gélule de médicament avec une croix pour faire ressortir l’idée de la mort. En effet cette phrase est là pour montrer que l’on peut surconsommer des médicaments mais que cela a des conséquences sur la santé. J’ai réalisé cette installation pour dénoncer la surconsommation des médicaments et surtout que cela peut entraîner des conséquences.
Selon moi c’est une vanité contemporaine car j’ai réalisé une sculpture sous forme d’installation. Mais également car elle dénonce un sujet actuel qui est la surconsommation des médicaments. Léonie

Sarah – Pochoir peinture, 150 cm haut

Une vanité représente les futilités de la vie humaine. Tous les objets, l’argent et la connaissance ne pourront pas empêcher la mort de nous rattraper. C’est une justice faite à tous les hommes : la mort n’épargne personne, mettant ainsi chacun sur un pied d’égalité, sans aucune distinction. C’est ce que la vanité fait comprendre à travers une abondance d’objets et de la présence régulière de crânes sur les toiles. Aujourd’hui, les vanités existent toujours. Ce genre se renouvelle de manières différentes ; les toiles sont remplacées par des sculptures, des accumulations… Si les vanités n’ont pas disparu, c’est qu’elles restent d’actualité. Elles démontrent l’orgueil humain, ses envies et sa soif de reconnaissance. Dans notre société, la surconsommation est devenue une habitude. Chaque être tente d’être le mieux, d’avoir ce que les autres n’ont pas, et surtout de le montrer comme on le faisait déjà au XVIIème. Ce besoin de s’exposer est d’autant plus facile à notre époque, dans une société individualiste dirigée par le « moi ». Pour être admiré, rien de mieux que les réseaux sociaux, poussant chacun à se surpasser, pour mieux impressionner, en oubliant l’essentiel. Les humains ont ce besoin de se montrer pour exister. Les vanités dénoncent cela. Tout ce qui est accumulé dans une vie, tout ce qui est matériel, ne peut pas empêcher la mort.
Pour réaliser ma vanité, j’ai commencé par quelques croquis. Je voulais montrer la mort par une main, arrachant ce qui compose la vie humaine. Ici, en l’occurrence, c’était l’argent. On ne peut rien faire sans argent dans la vie, mais au moment de la mort, ça n’a plus d’importance. J’ai représenté des billets percés par les « griffes » de la mort.
Aussi, pour utiliser un moyen d’expression contemporain, j’ai opté pour un pochoir me permettant de faire des graffitis. En effet de nos jours, même si ce n’est pas la plupart du temps, ce moyen-là permet. Sarah

Mathilde – Photomontage numérique, cadre, câble métallique

Pour créer ma propre version de la vanité en la réactualisant, j’ai décidé de faire des selfies, égo-portraits, des grandes parties de la vie d’un individu en me représentant moi avec la jeunesse, la vieillesse et la mort. Sur des polaroids et de les placer sur un fil de fer attacher à des épingles en métal, ce qui permet aux photos de pouvoir glisser sur le fil de fer. Le tout encadré dans un cadre photo noir. Mathilde

Lélia – Pastels sur papier, fleur plastique, 70 cm haut

J’ai décidé de réaliser mon travail sur un fond noir pour faire ressortir les éléments présents. J’ai voulu faire un vide au milieu en ne plaçant que des gouttes pour avoir une certaine pureté dans mon œuvre. J’ai décidé de dessiner aux pastels sec et grasses une poupée, qui pour moi l’aspect vain, et représente de même pour moi la vie éternelle. Le papillon posé sur la tête de cette poupée représente la fragilité de la vie. Les gouttes d’eau elles sont là pour rappeler la durée de vie terrestre car l’eau peut s’épuiser. La fleur représente aussi la fragilité de la vie, en revanche sa couleur blanche elle représente la pureté et donc la vie éternelle. Pour finir l’électrocardiogramme lui est là pour représenter la mort dans l’œil gauche… Lélia

 

Mélanie – Pâte durcissant, fil, objets

Cette œuvre représente la vanité moderne, avec la représentation du téléphone car au jour d’aujourd’hui les jeunes sont omnibulés par cet appareil. Mais la vanité pour moi est aussi les choses qui pollue, comme la voiture ou même la cigarette qui, en plus de polluer la nature, atteint notre santé. La vanité est aussi pour moi la richesse car tout est éphémère la richesse ne veut rien dire et ne qualifie pas les personnes car derrière la mort l’argent ne vaut rien. Mélanie

 

Gabriel – Peinture, dessin sur papier, 50×65 cm

Cette vanité représente 3 étapes de la vie. Le fond est un dégradé de blanc jusqu’au noir fait à la peinture acrylique pour montrer l’approche vers la mort. La naissance est symbolisée par une fréquence cardiaque. L’oiseau de twitter symbolise la transition entre l’enfance et la vie active. Un crâne est rempli de logos comme Google, Facebook … Cela montre que toute ces applications nous retirent de la vie, du temps à profiter des bons moments. Le crâne est relié à un téléphone qui n’a plus de batterie par des écouteurs. Le téléphone symbolise le décès, les écouteurs symbolisent le lien qu’il y a entre la vie et la mort. Un logo Snapchat (fantôme) sort du crâne, c’est une transition entre la vie active et la mort. Gabriel

Matthieu – Objet, peinture

J’ai voulu parler de la place des marques de vêtements dans notre système capitaliste. Pour ce faire j’ai pris une tête de mort en verre que je possède et j’y ai mis plusieurs logos de marques “à la mode”, certaine sont des marques de luxes d’autre sont des marques plus abordables pour la classe moyenne.
À travers cette vanité je veux montrer que les marques et globalement tout ce qui est de l’ordre du superflu sont un marqueur social qui est inutile, un vêtement est un vêtement quelle que soit sa marque. Pour l’aspect contemporain, j’ai réalisé une production qui implique un objet du “quotidien” à savoir la tête de mort qui sert de réservoir et j’ai pris des marques contemporaines. De plus la dénonciation du capitalisme est un thème Pop Art et donc contemporain. Matthieu

Angèle – Dessin sur papier, 50×40 cm

Comme les vanités représentent les aspects vains de la vie qui disparaissent à la mort j’ai décidé d’évoquer le désir par une femme nue, et pour montrer que toute chose a une fin je l’ai dessinée tenant un crâne dans la main sur une feuille de format raisin. Le bras tenant le crâne s’avance au premier plan. Pour moderniser mon travail, j’ai fait apparaître le dessin sur une recherche Google Image en représentant un ordinateur. J’ai ajouté quelques fenêtres de recherches sur le dessin de l’ordinateur pour évoquer d’autres vanités telles que les réseaux sociaux. Le dessin est au crayon de bois, en noir et blanc, seuls la main et le crâne sortants de l’écran sont coloriés, ainsi j’ai voulu mettre en valeur le crâne et montrer que Internet et toutes les évolutions technologiques passent au second plan après la mort. La mort étant plus forte que tout puisqu’elle peut arriver à n’importe quel moment dans la vie et effacer tout ce qui a été accompli. Ce travail représente également l’inutilité du temps passé voir perdu sur les réseaux sociaux car la mort les rattrape toujours. C’est une critique de l’addiction aux réseaux sociaux et aux nouvelles technologies qui empêchent parfois de profiter de la « vraie » vie.
Enfin pour mettre mon travail en avant et accentuer encore plus le fait que le crâne ressorte j’ai découpé les contours de mon dessin, ce qui enlève l’absence d’arrière-plan et qui permet d’éliminer le format raisin plus formel et ancien. Angèle

Loélia et Louanne – Carton, peinture, objet

Eléa – Dessin sur papier, 20×15 cm

Chloé – Série photographique

Diptyque - seconde création/arts visuels
Travail réalisé à partir d’un corpus photographique fait par les élèves, réflexion sur la composition dans un format carré. Cette proposition était faite en parallèle avec la visite de l’exposition de Christine Lefebvre à La Loge. Après sélection d’une de leurs photographies, les élèves étaient invités à réaliser une production en lien avec celle-ci pour créer un diptyque.

Equilibre et mesure - première enseignement optionnel
Recherches abstraites sur les notions d’équilibre et de mesure, réalisées suite à la visite du musée des arts de Cholet

Copie conforme ? Travail autour du minéral - première enseignement optionnel
Conversation avec... - seconde création/arts visuels

Ce travail fait suite à la visite de l’exposition Collectionner, un désir inachevé présentée au Musée des Beaux-arts d’Angers. Les élèves, après avoir choisi une oeuvre, ont imaginé une production dialoguant  avec celle-ci sous forme de « réponse ».